La signature de la lettre de licenciement est l’une des conditions de validité de celle-ci. La Cour de Cassation, dans un arrêt du 16 juin 2016, précise que lorsque la signature est illisible, de sorte qu’elle rend impossible l’identification de son auteur, la régularisation n’est plus envisagée et le licenciement est considéré sans cause réelle et sérieuse.